Jalal Alavinia
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L’aube

lundi 28 mai 2007, par Collectif LP


Voir en ligne : L’aube

Spojmai ZARIAB DESSINE-MOI UN COQ traduit du persan (Afghanistan) par Didier LEROY 2005 Collection AUBE POCHE 112 pages

L’innocence de l’enfance, les désastres de la guerre, les humiliations de la pauvreté, la tyrannie des fondamentalistes, la situation de la femme afghane, la douleur de l’exil sont les thèmes qui traversent ces nouvelles. Dans un style clair et tranchant, Spôjmaï Zariâb excelle à dénoncer l’implacable tragédie d’un peuple brisé par le totalitarisme religieux.

La PLAINE DE CAIN traduit du persan (Afghanistan) par Didier LEROY 2001 Collection AUBE POCHE 240 pages, 9,0 Euros

Daryush SHAYEGAN

La LUMIERE VIENT DE L’OCCIDENT 2005 Collection MONDE EN COURS - ESSAIS 272 pages, 22 Euros

« Le monde moderne a perdu son âme : ce constat aussi vieux que la modernité elle-même est aujourd’hui dressé par un philosophe IRANien, Daryush Shayegan. Spécialiste de la mystique spéculaire, ce sanskritiste, qui maîtrise huit ou neuf langues, ne sombre pas comme tant d’autres dans la dénonciation pure et simple de l’Occident. Il reconnaît à notre culture le mérite d’avoir inventé l’esprit d’examen, la rationalité scientifique et les institutions démocratiques, c’est-à-dire la résolution des conflits hors de la violence. Mais au prix de ce trésor inestimable que recèlent encore les sociétés traditionnelles – “les grandes émotions qui font vibrer les cœurs”… Shayegan nous adjure de mettre en œuvre cette tâche immense : réinventer une nouvelle spiritualité qui succéderait à l’éclipse du divin… Beau défi que l’auteur nous lance, non sans malice et gravité. » Pascal Bruckner, Le Nouvel Observateur

« Un essai formidablement clair sur les aspirations de l’Occident et les errances de la modernité. ہ ne pas manquer. » Guy Léger, Les Dernières Nouvelles d’Alsace

Le REGARD MUTILE Pays traditionnels face à la modernité 2003 Collection AUBE POCHE 256 pages, 11 Euros

" Le Regard mutilé est un inventaire des distorsions mentales provoquées dans les civilisations traditionnelles par l’irruption de la modernité. Une mine pour comprendre, un peu, les racines de l’intégrisme musulman, mais aussi les aberrations meurtrières des Khmers rouges ou du Sentier lumineux. " Agnès Bozon-Verduraz, Télérama

" Fondamental pour tous les intellectuels du tiers monde, le livre de Daryush Shayegan l’est également pour les Européens.C’est un exemple de rigueur, de lucidité radicale, d’absolue honnêteté. " Maurice T. Maschino, La Quinzaine littéraire

" Cette occidentalisation-là, Daryush Shayegan la défend avec une intelligence, une clarté qui forcent la conviction. " Pascal Bruckner, Le Nouvel Observateur

" Cet essai est l’œuvre d’un Oriental, d’un homme aussi qui maîtrise les outils conceptuels et scientifiques de l’Occident. " Philippe Gardenal, Libération

" Mais sous prétexte que l’intolérance menace, faudrait-il étouffer, en les taisant, le courage d’un écrivain et la rigueur de sa démarche ? " André Pautard, L’Express

ALI ERFAN

MA FEMME EST UNE SAINTE 2002 Collection REGARDS CROISES 112 pages, 11 Euros

"J’ai toujours voulu être poète ; mais l’histoire que je viens de vous raconter avait transformé l’homme que j’étais en être sceptique. Avant, d’un seul indice je déduisais une centaine d’informations ; le monde se définissait, se comprenait simplement dans le plein ou délié d’une lettre, dans une seule couleur et dans un seul mot. Le monde était réduit à sa plus simple expression. Mais depuis cet événement, la moindre petite chose est devenue si compliquée que tous les signes du monde ne suffiraient pas à l’expliquer."

Trois nouvelles d’Ali Erfan qui portent sa patte, cette écriture parfumée d’Orient pour mieux nous asséner la vérité cruelle d’un monde dominé par un fanatisme féroce et aveugle. C’est sous une apparente douceur que l’auteur démonte les mécanismes de la terreur : celle qui s’est emparée des Persans, femmes, hommes, enfants, pauvres ou riches, celle qui sévit à tous les étages de la société. Mais si l’écrivain est implacable dans sa démonstration, il nous émeut aux larmes par la tendresse qui sourd de tous ses mots, de toutes ses images, de tous ses silences...

LE DERNIER POETE DU MONDE traduit du persan (Afghanistan) par Ali ERFAN 1996 Collection AUBE POCHE 196 pages, 8,38 Euros

LA 602 E NUIT traduit du persan (Afghanistan) par Azita NIKNAM 2000 Collection REGARDS CROISES 192 pages, 220 X 145 mm 18,29 Euros

LES DAMNEES DU PARADIS traduit du persan (Afghanistan) par Ali ERFAN 1996 Collection REGARDS CROISES 121 pages, 220 X 145 mm 13,57 Euros

ADIEU MENILMONTANT 2005 Collection REGARDS CROISES 192 pages, 145 X 220 mm 14,8 Euros

On connaissait l’oeuvre engagée d’Ali Erfan, souvent considéré comme le plus grand écrivain iranien vivant. Ses nouvelles évoquent invariablement son Orient perdu, ainsi que le fanatisme et la terreur qui le ravagent depuis la Révolution de 1979. Cette fois, c’est de son exil en France qu’il s’agit, et plus particulièrement d’une rue, la rue où il a vécu, Ménilmontant. La rue de tous les exilés de la Terre. Cette rue qu’il a tant aimée, pour son dynamisme permanent et son cosmopolitisme, qu’il quitte à présent. Adieu Ménilmontant est un hommage à son refuge, à ses habitants hauts en couleur, à la tranche de vie qu’il y a passée enfin, en tant que photographe. En effet, on connaissait Ali Erfan écrivain, dramaturge, cinéaste ; sa passion de la représentation lui a cette fois permis de gagner sa vie, dans sa petite boutique de photographie, parallèlement à son activité d’écrivain. Avec un lyrisme intact, il nous retrace les bribes de sa vie à travers des images que l’on ne voit pas, mais qu’importe : le texte est là, et l’évocation suffit à emporter le lecteur.

Un récit original, empreint d’un lyrisme et d’une poésie propre à l’auteur

LA ROUTE DES INFIDELES 1991 Collection REGARDS CROISES 260 pages, 220 X 145 mm 18,29 Euros

"Aucun doute à avoir : l’enfer tourne dans la tête d’Ali Erfan. La route des infidèles est un récit riche en spiritualité et en histoires tragiques, qui commence comme une biographie et finit comme un songe. A croire que c’est aimer qui rend infidèle..." Actuel /

"Ali Erfan, Iranien, habite en France et personne n’écrit comme lui. Il met sous notre langue, la française, les saveurs d’un Orient qui se frotte sans vergogne au XXe siècle. Il ensalive ses phrases de miroitements qui font surgir de derrière les mots des images tremblantes, papillonnantes. Elles nous échappent un peu. Elles ont des tiédeurs, lourdes, enivrantes, aigrelettes en fond de bouche." Marie-Laure le Foulon, Télérama /

"Sensuel et bleuté comme les arabesques qui chuchotent dans le jardin ombré des mosquées, le roman d’Ali Erfan se déploie comme un long chant d’amour, paupières closes, au milieu des bombes meurtrières." Catherine Argand, Lire /

"Un pèlerinage iconoclaste vécu comme une catharsis." Pariscope

"C’est un très beau voyage, un peu comme un cauchemar, et un excellent compte rendu sur l’absurdité de la guerre." Maurice Béjart, Figaroscope


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